En automne, une tradition fait rage chez nous, les « samedis-champi »… Alors champi plus appareil photo numérique, ça donne un coktail détonnant !!
Dans les bois…
Le champignoneur du samedi, pour mener à bien sa quête, doit avoir :
– Un manteau et de bonnes chaussures pour l’humidité ;
– Des sacs (des fois qu’on en trouve dix kilos, ce-qui-n’est-jamais-arrivé-mais-qui peut-arriver-en-théorie-alors-mieux-vaut-faire-comme-si…) ;
– Un couteau (j’ai le modèle spécial champi, avec lame incurvé et brossette intégré offert par AA et KO) ;
– Un baton pas trop lourd mais bien droit pour gratter les feuilles et diverses ronces…
– De la patience ;
– Une connaissance des « coins », qu’il a trouvé par hasard mais refuse catégoriquement de divulguer, même à ses amis les plus proches…
Un beau spécimen en pleine action…
Et voilà le travail !!!
Bien sûr, tout n’est pas bon à manger… Mais cela reste beau à regarder !
Où est Charlie ?
Et dans l’assiette
Enfin, pas tous en même temps quand même !!!
Petit panorama des champi les meilleurs : les girolles (en jaune orangé en bas à droite), les chanterelles cendrées (en jaune et cendre, un peu partout), les peids de mouton (en jaune, la grosse au centre de la photo !) et les trompettes de la mort (en noir, au centre)…
Cette fois-ci, servis à la crème avec du riz en accompagnement d’escalopes de dinde….. Un vrai régal !!!
SBr.
hmmm voilà qui nous donne une bonne raison d’aimer l’automne !!!
Bravo pour les photos ;-)
Effectivement, il faut bien qu’il y ait des avantages à passer l’automne loin de Paris !!
SBr