Lorsque je vivais seule l’année dernière et que soit que le temps me manquait, soit que je n’avais desepérement aucune envie de faire autre chose que d’ouvrir une boite je pratiquais « la nourriture sauvage ».
J’ai renoué avec cette pratique au cours de cette première quinzaine 2008… Avec toujours autant de plaisir.
Le principe est le suivant : arriver chez soi avec un ventre gargouillant, avoir si possible de la vaisselle à faire et beaucoup d’articles à lire ou pire quelques lignes à rédiger. Jetez vous sur vos placards pour y dénicher une (très bonne) boite de thon nature (sauvage mais pas rustre). Le mettre dans le petit bol du magimix avec des cornichons russes, de la laitue de mer et des capres. Faites pulser l’appareil en incorporant un filet d’huile d’olive bien fruitée… Pour faire de la « vraie » nourriture sauvage, mangez directement dans le bol… Vous pouvez aussi tenter de garder une contenance en déposant ceci dans une verrine.

J’aurais aimé la faire, cette photo…
Je ne pratique pas la nourriture sauvage, il faudra que tu m’expliques un peu plus en détail le concept…
(Mince alors, pas le temps d’aller voir tes macarons tout de suite, je vais devoir attendre ce soir, si j’ai du réseau…)
Je vois que le tartare d’algues n’est pas loin…
ah là là, c’est vrai, ça a l’air bien meilleur que la boite conserve de raviolis ouverte, jetée dans un bol, tiédie au micro ondes et engloutie avant de filer sur la fac…
La mangue : merci pour la photo … Je t’expliquerai le concept de la sauvagitude alimentaire … C’est un dérivé de la procrastination… « Tout se tient »(c)
Nathalie : Et oui… l’essayer c’est l’adopter (et dans une moindre mesure le custumiser) …
Squatteuse : je te rassure je sais aussi faire la boite de ravioli (froide mais bio…)… D’ailleurs pour midi c’etait pate froide …. Arrrhhh plaquette de TD a préparer quand tu nous tiens !